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Dans quelques heures, le jour le plus attendu des amoureux.

Et oui je veux parler de la Saint Valentin !

Pourquoi faut il attendre ce jour pour s'aimer, passer un moment avec l'être aimé ? 

C'est encore une fois de plus un Pouvoir de décision que nous donnons à la société, que de décider quand nous devons aimé.

Sommes nous si perdus au point de ne plus savoir comment aimé ?

Il est grand temps que nous fassions quelque chose pour y remédier.

Que faisons-nous pour que vive cet amour en nous et autour de nous ?

Cette sublime sensation qu'est l'Amour. C'est une si grande énergie que nous étouffons, que nous avons la pudeur de la laisser enfoui en nous. L'amour c'est quoi au juste ? 

L'amour c'est toi, moi, nos amis, notre famille, les êtres que l'on rencontre, la nature, les oiseaux. Tout ce qui nous entoure est amour. 

Malheureusement, nous nous éloignons de cet amour... Alors vive la Saint Valentin !

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Pin

À la cime du pin,

la brise effleure tes aiguilles

et d'un doux va et vient

comme électriques, elles brillent d'une lumière soudaine.

Le pin ne s'en soucie,

il ondule,

à la merci de la caresse d'un vent qui le nourrit.

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Ces jours derniers, ça brasse fort dans les émotions.

Comme le temps, vents, pluies, l'élément Eau est très actif.

Nous ne sommes pas si éloigné de ces perturbations météorologiques. Les émotions sont aussi des perturbations qui agissent dans nos corps subtils. Nous vivons à l'intérieur ce qui se déroule à l'extérieur.

Je n'ose même pas imaginer ce que certains d'entre-nous vivent en ce moment.

Beaucoup d'entre-nous ont hâte de voir enfin revenir le soleil qui pourra réchauffer cet hiver pluvieux, et vivre plus de sérénité.

Et espérer aussi que le soleil éponge nos pluies intérieures.

Tout va très vite, l'on passe du coq à l'âne, les situations se chevauchent rapidement et l'on doit préserver le détachement en restant centrer.

Ce n'est pas toujours facile, surtout si cela touche notre affectif.

Ce qui nous fait plonger dans ces eaux tumultueuses des émotions, c'est de croire et de penser que nous sommes cette personne perturbée.

De s'identifier à notre "rôle" dans ce monde, et aux masques que l'on prend face à certaines situations.

Croire que nous sommes ces perturbations font qu'elles existent et se perpétuent dans notre vie.

Un peu en arrière des pensées et des émotions, il y a le spectateur détaché qui observe. Lui n'est pas atteint par le mauvais temps.

Se placer en tant que spectateur libère la croyance de croire que nous sommes cette personne émotionnelle, alors que nous sommes cet observateur qui observe en toute quiétude, là au centre de la poitrine...

"Le mental est comme un égout, au lieu de nettoyer l'égout nous continuons à regarder le couvercle dorée".  Kiara Windrider.

Comment nous débrancher de ce mental si puissant et l'utiliser que lorsque l'on en a besoin ?

En nous débranchant, on lui enlève Son pouvoir sur nos décisions et par conséquent, on reprend Notre pouvoir !

Nous sommes enfermés dans ce mental comme dans une prison !

Celui-ci agit à sa guise tant que l'on ne le neutralise pas ou le mette en sommeil.

Nous avons tous besoin de notre mental mais lorsqu'il commence à dépasser les bornes, alors on "pète" nos neurones.

Utilisons le comme un outil, comme on le ferait pour une voiture, un couteau, des chaussures... 

Gardons-nous nos chaussures pour la nuit ? Ou encore, gardons-nous le moteur de notre voiture allumé au cas où ? 

Laissons le "en pause"...Et utilisons-le que lorsque nous en avons réellement besoin. 

Notre tête ne s'en portera que mieux. Moins de stress, moins de tensions sources de beaucoup de maux, comme l'hypertension moins de conflits avec l'entourage.

Eduquer notre mental est, ce que nous avons à faire au quotidien.

Je pense que le lâcher prise est le fait de nous autoriser de le "laisser en pause".

Il est fort aisé d'entendre dire de lâcher prise.

Si toutes les différentes personnalités en nous n'ont pas été identifiées.

Si tous les éléments de la cause du mal-être n'ont pas été reconnus.

Exemple : Une personne qui veut satisfaire son entourage mais qui n'écoute pas ses propres besoins. Cette personne va somatiser et développer en elle des frustrations, des tensions refoulées qui avec le temps créeront un déséquilibre dans sa vie et dans ses corps subtils.

C'est bien de s'occuper des autres, de leur donner de l'attention, de l'amour mais nous devons aussi nous donner autant que nous donnons à notre entourage affectif.

Dans un passé pas si lointain, nos parents et grands -parents n'avaient pas le choix ni le droit de penser par eux-mêmes.

Au point que certains n'avaient pas conscience de leur pouvoir de création. Désormais, nous sommes libres, et nous avons conscience de notre grand pouvoir de création, notre droit d'exister.